Sôliz
À son piano, Sôliz trouve un refuge et la liberté de raconter sa ville. Celle qu’elle arpente et observe, avec ses gens fous, ses gens tristes, ses gens qui parlent fort, en mouvement ou en arrêt, dans le métro, les cafés ou les supermarchés. Là où l’on peut voir le pire comme le meilleur, l’artiste puise sa force, sa rage et sa douceur, et nous offre un contrepoint des clichés, de la violence et de l'amour.
À son piano, Sôliz trouve un refuge et la liberté de raconter sa ville. Celle qu’elle arpente et observe, avec ses gens fous, ses gens tristes, ses gens qui parlent fort, en mouvement ou en arrêt, dans le métro, les cafés ou les supermarchés. Là où l’on peut voir le pire comme le meilleur, l’artiste puise sa force, sa rage et sa douceur, et nous offre un contrepoint des clichés, de la violence et de l'amour.